lunedì 27 ottobre 2014

Basilio il Grande, Esamerone, 2,7



Grandiosità e bellezza della luce 


"E Dio disse: «Sia la luce» (Gen 1,3)! La prima parola di Dio creò la luce, dissipò le tenebre, allontanò la tristezza, illuminò il cosmo, rivestì ogni cosa di un aspetto gradevole e giocondo.

Apparve, infatti anche il cielo, prima nascosto nelle tenebre; apparve la sua bellezza, tanto grande come anche adesso gli occhi possono testimoniare. L’aria stessa brillava, o meglio tratteneva in sé tutta la luce, inviandone grandiose inondazioni per tutta la sua estensione. Attraverso l’aria, infatti, la luce giunse, in alto, sino all’etere e al cielo; in latitudine, illuminò tutte le regioni del mondo: da quella boreale a quella australe, dall’oriente all’occidente; tutto nel breve spazio di un momento.



L’atmosfera, infatti, è così sottile e trasparente che la luce, per attraversarla non ha bisogno di alcun intervallo di tempo. Come il nostro sguardo percepisce immediatamente gli oggetti sui quali si posa, con altrettanta rapidità, in un tempo che nessuno potrebbe immaginarsi più breve, l’atmosfera accoglie dappertutto i raggi della luce. Dopo l’apparizione della luce, anche il cielo divenne più giocondo e le acque più limpide, non soltanto accogliendo la luce, ma anche riflettendola in ogni punto con innumerevoli scintillii. La parola divina donò ad ogni cosa un aspetto bellissimo e piacevolissimo. Come coloro che, immergendosi, versano dell’olio in fondo all’acqua, per rischiarare quel punto; allo stesso modo il Creatore, non appena ebbe parlato, subito recò al mondo la grazia della luce. «Sia la luce». E il comando era subito attuato, così fu creato qualcosa di cui la mente umana non può immaginare nulla di più giocondo e di più bello. Quando poi parliamo della voce o della parola o del comando di Dio, non intendiamo affermare che la parola divina costituisca un suono emesso attraverso le corde vocali né una quantità d’aria regolata dalla lingua; riteniamo, invece, che, in modo più comprensibile per coloro che vengono istruiti, essa rappresenti l’impulso della volontà divina, significato sotto la forma del comando. E Dio vide che la luce era bella (Gen 1,4). Quali lodi potremmo noi mai pronunciare, che siano degne della luce, dal momento che il Creatore stesso l’ha riconosciuta bella fin dal principio?" 



 Basilio il Grande, Esamerone, 2,7

martedì 7 ottobre 2014

8 ottobre feste santi e memorie

8 ottobre feste santi e memorie

 
Sainte PELAGIE, vierge d'Antioche, qui mourut en se jetant du haut de sa maison pour empêcher les soldats venus l'arrêter d'attenter à sa virginité (probablement sous Numérien, entre 282 et 284). 

http://www.santiebeati.it/dettaglio/73550
Saint PIERRE, martyr vénéré à Séville en Andalousie.
Saintes BENOÎTE (BENEDICTE, BENEDICTA), native de Rome, et LEOBIERE, vierges et martyres à Origny-en-Laonnais en Picardie (soit sous Dioclétien entre 300 et 304, soit sous Julien l'Apostat en 362). 

Sainte LAURENCE (LAURENTIA, LORENZA), esclave de Palatiate, riche habitante d'Ancône dans les Marches; elle distribuait aux pauvres tout ce que sa maîtresse lui donnait, et la convertit par son désintéressement; martyre sous Dioclétien (302). On l'invoque en faveur de ceux qui sont dans la misère.


Sainte PALATIATE (PALATIAS, PALAZIA), citoyenne d'Ancône dans les Marches; convertie au christianisme par le désinteressement de son esclave Laurence, elle mourut martyre avec elle sous Dioclétien (302). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/93663


Sainte THAÏS, prostituée repentante (Egypte IVème siècle).
Kontakion (Tone 2)
Thou didst wear out thy body with fasts, vigils and prayers and pray thy Creator for total forgiveness. Thus thou didst obtain and dost show us the way to repentance, O holy Mother Taisia.
St. Taisia (alt. Thais & Thaisia) lived in Egypt in the 4th century. She was trained as a prostitute by her mother. A disciple of St. Anthony the Great, Paphnutius, determined to save Taisia. He dressed in ordinary clothes, found Taisia in town and gave her a gold coin. She took this as a solicitation and led him to her room. Paphnutius proceded to denounce her sin and called her to repentance. She repented with tears. She gave all of her goods to the poor and joined a monastery of virgins. She stayed secluded in her cell for 3 years, living only on bread and water. The St. Paphnutius visited her and made her leave her cell. She became ill and died. St. Paul the Simple, another disciple of St. Anthony, saw a vision of a most beautiful dwelling prepared for the penitent Taisia in Paradise. She entered into rest in the Lord in about 340.
Tradizione del Western Rite


Saintes PALLADE, ASSERE et PORCARIE, moniales à Sens en Bourgogne (Vème siècle). 


Sainte PELAGIE, prostituée repentante, qui quitta Antioche pour pratiquer l'ascèse en Palestine (vers 457). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome X des Ménées.)

Le 8 octobre, mémoire de notre Sainte mère PÉLAGIE la prostituée repentante
Sainte Pélagie vivait à Antioche dans la deuxième moitié du cinquième siècle. Livrée à la danse et aux plaisirs impurs, elle était la prostituée la plus connue de cette grande ville et avait tiré de ses débauches une grande fortune qu'elle n'utilisait qu'à parer son corps d'atours précieux et de parfums voluptueux, pour attirer de nouvelles victimes dans ses filets. Elle avait de nombreux esclaves et serviteurs qui l'escortaient lorsqu'elle se proMenait dans la ville, assise dans son char luxueux. Or, un jour où l'Archevêque d'Antioche avait invité Nonnus, l'Evêque d'Edesse, un saint homme dont les paroles inspirées portaient ses auditeurs au repentir et à l'amour de la vertu, à prêcher devant le peuple, Pélagie vint à passer devant l'assemblée avec son cortège habituel. Alors que tous détournaient les yeux de ce spectacle, Saint Nonnus regarda cette femme en pleurant. Il dit à ceux qui l'entouraient: «Malheur à nous, paresseux et négligents, car nous devrons rendre compte au jour du jugement, pour ne pas avoir mis à plaire à Dieu le zèle et le soin que met cette pauvre femme à orner son corps pour un plaisir passager». Et il pria ardemment le Seigneur pour sa conversion.

Le lendemain, comme Nonnus commentait le Saint Evangile au cours de la Divine Liturgie, Pélagie se trouvait dans l'assistance. Les paroles de l'Evêque sur le Jugement dernier et l'éternité des peines de l'enfer pénétrèrent dans le coeur de la jeune femme comme une épée effilée et éveillèrent en elle le seul véritable amour, celui de l'Epoux céleste. De retour dans son palais, elle adressa une lettre au Saint Evêque, demandant qu'il acceptât de la recevoir et qu'il ne méprisât pas sa turpitude s'il était vraiment disciple de Celui qui est venu pour appeler «non les justes mais les pécheurs à la pénitence» (Mat. 9:13). Nonnus lui fit répondre que si elle était vraiment décidée à se repentir, elle devrait se présenter à l'église, devant toute l'assemblée des Clercs et du peuple, pour confesser ses fautes. Pélagie saisit cette occasion et se précipita vers l'église, en oubliant sa parade et son orgueil d'autrefois. Puis elle se jeta à genoux au pieds de l'Evêque et le supplia de la faire renaître à la vie divine par le Saint Baptême, afin que le démon et l'habitude ne la rappellent pas à sa vie de débauche. Lors du Baptême de Pélagie toute la ville d'Antioche se réjouit de l'événement et du salut de cette âme. Elle fut confiée à une moniale du nom de Romane, qui l'initia au combat spirituel et à la vie de repentir. Par la prière et le signe de la Croix, elle vainquit ainsi les tentations de revenir à sa vie de péché, qui ne tardèrent pas à fondre sur elle. Quelques jours après son Baptême, Pélagie fit distribuer toutes ses richesses aux pauvres et affranchit ses esclaves.

Ainsi libérée de tout attachement au monde, elle changea ses vêtements féminins pour de grossiers vêtements d'homme, et partit en secret pour pratiquer l'ascèse en Palestine, sur le Mont des Oliviers. Elle resta de longues années enfermée dans une petite cellule, luttant chaque jour contre les passions qui s'étaient enracinées dans son corps et mettant désormais tout le soin qu'elle avait autrefois pour ses toilettes et ses parfums à l'ornement de son âme pour la vie éternelle. Bien qu'elle restât dans la solitude, la renommée de ses exploits se répandit parmi les ascètes de Palestine, qui croyaient qu'elle était un homme. Lorsque la sainte pénitente remit en paix son âme à Dieu, tous les moines de la région se réunirent pour vénérer ses Saintes Reliques et glorifièrent grandement le Seigneur en apprenant d'un disciple de Nonnus la véritable histoire de Pélagie, qui enseigne à ceux qui sont plongés dans les ténèbres du péché à ne pas désespérer, mais à s'engager avec vaillance sur la voie du repentir

 

Santa Pelagia
Fu una giovane martire di Antiochia, vittima della persecuzione di Diocleziano. Pelagia, quindicenne, testimoniò in modo insolito la sua fedeltà a Cristo: quando i soldati dell'imperatore si recarono alla sua dimora per portarla davanti al tribunale che l'avrebbe sicuramente condannata perché cristiana, Pelagia domandò loro di permetterle di mutarsi d'abito. Avuto il permesso, salì al piano superiore e ben sapendo a quale trattamento indegno sarebbe stato esposto il suo corpo, si uccise gettandosi dalla finestra.
San Giovanni Crisostomo, involontariamente, ha oscurato la fama di questa Pelagia, raccontando la storia di una ballerina di Antiochia dallo stesso nome, che la gente chiamava Margherita, cioè perla preziosa, per la rara bellezza del suo volto e per i ricchi ornamenti del suo corpo. Bellezza da cui lo stesso vescovo Nonno trasse un insegnamento di tipo spirituale. Le stesse parole del pastore portarono questa Pelagia alla conversione e al battesimo. Si recò poi a piedi a Gerusalemme dove visse in una grotta sul Monte degli Ulivi per il resto dei suoi anni.
La donna, di cui parla S. Giovanni Crisostomo, era una ballerina di Antiochia, che la gente chiamava Margherita, cioè perla preziosa, per la rara bellezza del suo volto e per i ricchi ornamenti del suo corpo, così appariscenti da distrarre lo stesso vescovo della città (il non identificato Nonno), mentre si recava in processione al sinodo. Il buon vescovo, dopo un attimo di smarrimento, si ricompose e trovò il modo di trarre un utile insegnamento morale da quella distraente apparizione: se una donna - commentò - si rende così bella per compiacere a un uomo mortale, come dovremmo adornare noi la nostra anima destinata al Dio eterno? Quella donna fu toccata dalla grazia ascoltando occasionalmente le parole del vescovo. Andò poi a prostrarsi ai suoi piedi e ottenne il battesimo. Mutò quindi i preziosi abiti con la tunica del penitente.
Per far perdere le sue tracce, si travestì da uomo e, lasciata nottetempo la città di Antiochia, si recò a piedi fino a Gerusalemme, dove visse i restanti anni della sua vita chiusa in una grotta sul monte degli ulivi, celandosi sotto il nome maschile di Pelagio. Scoperta la sua vera identità dopo la morte, ebbe col nome di Pelagia la devozione di tutti i cristiani.

http://cristiano-ortodosso-italiano.blogspot.it/2013/11/vita-di-santa-pelagia-prostituta.html
Tradizione del Wetsern Rite


Sainte KAYNE (KEYNA, CEINWEN), solitaire dans le Somerset (fin du Vème siècle).
Tropaire de sainte Keyne Ton 8Ayant transformé les serpents en pierre, tu donnas ton nom à Keynsham, O saint Keyne,/
Et resplendissante en miracles après ta vie,/
Notre père Cadoc fut le ministre de tes funérailles./
Par tes prières, O Vierge, puissions nous recevoir grande Miséricorde.


http://groups. yahoo.com/ group/celt- saints/message/ 2451

Sainte MELARIE, ascète en Bretagne (VIème siècle).

Saint CALDERIC (CALTRY), évêque de Chartres en Beauce (vers 567).

Saintes VALERIE et POLLENE, soeurs selon la chair, moniales à Honnecourt en Cambrésis (vers 640).

Saint GRAT (GRATIEN), évêque de Chalon-sur-Saô ne en Bourgogne (652).

Saint YWI (IWI), moine de Lindisfarne, ordonné diacre par saint Cuthbert (vers 690).

Saint AMOUR, natif de l'Aquitaine, diacre, évangélisateur de la Hesbaye et moine à Munsterbilsen près de Liège en Wallonie, thaumaturge (entre le VIIème et le IXème siècles).

Sainte TRIDUANE (TRIDUAINE, TRIDUNA, TREDWALL, TRALLEN), moniale au comté d'Aberdeen en Ecosse (VIIIème siècle?).

Sainte RAINFROIE, abbesse à Denain en Hainaut français (805).

Saint NICOLAS II le Studite, patriarche d'Antioche et de tout l'Orient (1030).

Saint ANTOINE, évêque de Novgorod (1232).

Saint DOSITHEE, fondateur du monastère des Saints-Apôtres- Pierre-et- Paul à Verkhnéostrov près de Pskov (Russie 1470).

Saint TRYPHON, higoumène de Viatka (Russie 1612).

Saint IGNACE le Jeune, Bulgare de nation, moine athonite, martyr à Constantinople par la main des Musulmans (1814). (Autre mémoire commune avec celle de saints Euthyme et Acace le 1er mai.)

Saints DEMETRE, archevêque de Mojaïsk, JEAN, diacre, AMBROISE et PACÔME, moines, TATIENNE, moniale, et NICOLAS, MARIE et NADEGE, martyrs par la main des Communistes (1937).

Saints JEAN, évêque de Bélijsk, PIERRE, BASILE et PAUL, prêtres, martyrs par la main des Communistes (1937). 

Saint BASILE, martyr par la main des Communistes (après 1937).